Nom: Avédis
Prénom: Chahar
Surnom:
Age: 18 ans
Date de naissance: an 244 de l'après
Statut: Plébéien
Métier: Antiquaire
Lieu de naissance: Une vieille ruine d'immeuble en béton, à quelques mètres de la centrale.
Lieu de résidence: Dans l'immeuble de sa naissance, un appartement délabré aux fenêtres brisées et avec quelques murs détruits.
Lieu de travail: Dans les ruines et autres décombres qui ne lui sont pas encore passé sous la main. Sinon il vend ses trouvailles à même la rue, de façon itinérante.
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Caractère: Chahar est une personne calme, peu bavard et relativement flegmatique. Il aime rêvasser, regarder la ruche tsélienne du haut de sa chambre ou même le ciel sombre et maussade. C'est une personne aimante bien qu'il ne le fasse pas savoir, il est de ceux qui aime offrir plus que recevoir. Il ne s'étonne pas non plus de grand chose, mais ce n'ai pas pour autant qu'il ne s'y intéresse pas . Au contraire il s'accorde beaucoup de temps pour réfléchir et émettre des hypothèses à toutes ses interrogations, il,est curieux et persévérant.
Son lieu de prédilection se situe à une vingtaine de mettre de chez lui, le dernière étage de son immeuble, pas tout à fait le toit car la structure s'est effondrée à sa moitié il bien longtemps.
Enfin il sa passion pour la rêverie et le petit monde qu'il a pu en tiré l'ont poussé à s'intéresser à l'Avant, cette période flou et sans vraiment d'information. D'où le choix de son métier.
Physique: Cela fait déjà quelques années que Chahar à mis le pied dans la vie adulte mais son corps petit et frêle lui donne un air enfantin.
Ses yeux vert pâle, fuyants et hagards donne l'impression qu'il n'ai jamais tout à fait présent, un peu ailleurs, un peu ici. Il a les cheveux blonds et rebelles, coiffés d'aucune façon, et pas tout à fait lisse. Mi-long, ils se bousculent sur le haut de son crâne au gré du vent.
Son visage est presque poupon, sa peau molle ne lui donne pas cet air adulte et autorité classique de son âge, il a l'air de ne jamais avoir d'énergie à disposition bien qu'il soit au mieux de sa forme.
Enfin il s'habille généralement des frusques qu'il trouve ici et là, parfois quelques reliques de l'Avant trop détériorées pour être vendues et pas assez pour être jetées. Il porte un gros blouson chaud, rembourré d'une laine épaisse et recousu de toute part, ce blouson lui est particulièrement précieux car il lui fait office de lit lorsque qu'il part en exploration.
Signe particulier: Aucun
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Histoire: Autant qu'il s'en souvienne la vieille station électrique, cet ancêtre de tôle et d'acier l'a toujours passionné et intrigué. La structure en elle même, incomprise et pourtant nécessaire, et ses esclaves identiques encore plus troublants, l'avait bercé de sa musicalité industrielle depuis que Marina Avédis avait accouché de lui 18 ans plus tôt dans la clinique quelques rues plus loin.
Dans sa jeunesse, il était comme tout un chacun, un peu stupide, toujours innocent, le sourire au lèvre, une joie de vivre qui le fuirait bien assez tôt et une témérité qui brillait par son absence. Lors qu'il ne jouait pas avec les jeunes plébéiens, il se promenait dans les endroits inhabités de la basse-ville, il se promenait seul, le vague à l'âme et l'imagination en ébullition.
Son intelligence, sa curiosité et son imagination venaient de deux choses principalement. D'une part la machinerie vivante qui offrait son pouvoir à Tsel en bas de sa fenêtre et d'autre part les théories fumeuses que son père, Balthazar Avédis, lui racontait sur l'Avant. Toutes différentes les unes des autres, sans fonds ni forme mais qui avait dont d'amuser toute la famille. Il arrivait souvent que pendant les maigres repas toute le monde y aille de son idée, faisant avancer encore et encore ce passé imaginaire.
Puis avec l'âge, Chahar perdit de son entrain de sa vivacité physique. Il passait de plus en plus de temps dans les décombres de la basse ville, y dénichant des bricoles qu'il échangeait ensuite contre de la nourriture. Son cercle d'ami était maigrelet car il ne prenait pas le temps de vivre avec les autres. Non pas qu'il ne les aimait pas, plutôt qu'il ne se sentait pas le besoin d'être entouré et aimait la solitude pour cette liberté relaxante qu'elle lui apportait.
Ce n'est pas quelqu'un d'asocial, plutôt un jeune homme un peu renfermé, un peu solitaire, un peu peureux.
C'est tout naturellement qu'il devînt antiquaire, ou ferrailleur comme il préférait se nommer. Sa curiosité grandissante pour l'avant avait finalement eu raison de la majeur partit de ses activités et il lui arrivait parfois de passer plusieurs semaines dans les quartiers isolés et perdus de la basse ville. Tout ce qu'il trouvait, tout ce qui était bon à échanger ou non était une source de questionnement pour lui, il avait une envie furieuse de savoir ce qu'était réellement l'avant. Car toutes les traces qu'il trouvait été autant d'énigme pour lui.
A présent sa vie, sa survie était, comme pour tout les plébéiens, son travail. Mais finalement il allait bien plus en loin dans cette relation étroite qu'il entretenait avec lui car il lui apportait toujours plus de questions sur ce mystérieux passé. Il loge toujours dans la maison de ses parents, avec sa grande sœur Paulie, son père et sa mère.
Sujet: Chahar Avédis 
26.07.09 12:40
