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 Lalita Itshars

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MessageSujet: Lalita Itshars   Lalita Itshars Icon_minitime28.10.07 23:00

Nom: Isthars (par alliance)

Prénom: Lalita

Surnom: Autrefois un certain Majnu, amoureux transit, se plaisait à la surnommer Leila. De nos jours on l’appelle simplement Madame où à la rigueur maîtresse. Il est cependant fort possible que dans son dos la haute société l’affuble de tout un tas de sobriquets : l’opportuniste, la dinde ou que sais-je encore ? D’un autre coté, Lalita ne plait pas d’avantage aux plus pauvres, on la déjà traitée de traîtresse ou d’hypocrite par le passé.

Age: 26 ans

Date de naissance: Elle ne sait pas trop, en novembre ça c’est sur.

Statut: Noble (par alliance)

Métier: Epouse d’Abel Isthars.

Ex-roturière mais c’est de l’histoire ancienne, aujourd’hui son métier à plein temps c’est d’être membre de la famille Isthars et croyez moi, il y a du travail. Plus précisément, elle gère le capital de la famille d’Abel ainsi que ses affaires. Elle s’adonne également à la politique et aux diverses intrigues/manigances lorsque cela s’avère nécessaire. Plus clairement : elle est l’homme de la maison, c’est sur ses épaules que tout repose à présent et pas sur celles de son mari. Elle a tout pouvoir en sa demeure.

Lieu de naissance: Tsel (la ville basse)

Lieu de résidence: Etemenanki, aile des Isthars.

Lieu de travail: Son bureau je suppose ?

*

Caractère: Enflammé. Toutefois, de nos jours la flamme brûle en silence avec moins d’intensité, plus lentement, plus discrètement. Lalita, être passionné, spontané et qui pourtant reste tellement insondable. Autrefois, elle aimait la fête, la danse et le jeu mais c’était surtout sa seule façon de combattre un quotidien peu enviable…

De nos jours, disons qu’elle fait plus attention à ce qu’elle fait et à ce qu’elle raconte. En même temps, elle n’a pas trop le choix vous me direz. A la fois sombre et lumineuse, capable du pire comme du meilleur. Les gens ne la comprennent pas, il faut dire qu’elle brouille naturellement les pistes, on a du mal à la suivre et pourtant… sur les traces du fou, quelle surprise d’y découvrir de la logique !

Egoïste sans cœur ? Femme fourbe, de la pire espèce ? Grande dame, généreuse ayant le cœur sur la main ? A vous de le découvrir, à vous de décider. Sachez simplement ceci : lorsqu’elle a prit une décision qu’elle juge valable, Lalita va jusqu’au bout. Les méthodes et les moyens employés pour arriver à ses fins importent peu. Dès lors, il sera très difficile de l’arrêter…

à bon entendeur !

Physique:
Observez la. Naturellement sensuelle, lorsqu’on la croise immédiatement on remarque ses rondeurs bien placées. Son tour de poitrine généreux, la courbe harmonieuse de sa chute de rein et pour agrémenter le tout : une taille de guêpe, bref son corps a dû en faire rêver plus d’un.

La teinte de sa peau se situe entre le chocolat et le café au lait, ses yeux sont d’un marron foncé, presque noir. Sa bouche n’est ni petite ni grande, un peu en pop-corn. Son nez est droit, bien dessiné.

Sa démarche est souple, on sent rien qu’à la regarder qu’elle est sportive et dynamique.

Détaillez son visage. L’expression qu’elle arbore vous refroidira rapidement. Sérieuse, sans doute trop, comme une injure, une rature sur un tel tableau. Mais cela ne dure pas, déjà elle vous aperçoit, son expression change : elle vous sourit. Sa désinvolture reprend le dessus, oui ça lui va beaucoup mieux, à présent le tableau semble plus juste, plus…normal ?


Signe particulier: Un piercing au nez et un autre au nombril.

*
Histoire: Enfant de la plèbe énergique, à la fois féline et mystérieuse, très tôt elle sût jouer de ses charmes mais cependant rarement à mauvais escient. A la fois ange et démon, elle ne calculait rien mais pourtant fit beaucoup de mal à ses admirateurs, amoureux transit qui en secret se disputaient ses faveurs.


Issue d’une famille d’artistes, c’est tout naturellement que la jeune Lalita suivit la voie de ses pairs : danse, chant, piano. Chaque matin elle travaillait ses gammes et ses vocalises, répétait inlassablement les divers pas de danse qu’on lui avait enseigné. Mais en grandissant les choses prirent une mauvaise tournure, la pauvreté en était la cause. Grâce au bouche à oreille, elle apprit qu’un poste de femme de chambre était à pourvoir chez une prestigieuse famille d’aristocrates. Prenant son courage à deux mains, du haut de ses quinze printemps, elle passa le test d’embauche en secret. D’emblée, on la trouva trop jeune mais sa belle énergie et son enthousiasme firent mouche : bref on l’engagea.

Quatre années s’écoulèrent. A dix-neuf ans, Lalita devint une soubrette confirmée. Par manque de temps et à son grand regret, la danse et le chant prirent une place secondaire dans sa vie. Fort heureusement, elle rencontra sur son lieu de travail un jeune homme qui partageait cette même passion : Majnu, un autre artiste reconverti lui en cuistot. Une amourette naquit entre ces deux drôles d’oiseaux, fêtards, insouciants, toujours prompt à chanter et danser dans les cuisines dès que tout le monde avait le dos tourné.

Puis il y eut l’arrivée de Jean, un beau blond au regard triste. Lalita était déjà en couple mais pour autant, cela ne l’empêcha pas de s’éprendre de lui. Sa sensibilité à fleur de peau lui donnait des frissons, ce jeune rescapé, sans le sou et pourtant trop fier pour demander la charité. A chaque fois qu’elle le voyait, son cœur bondissait dans sa poitrine. Parfois il venait leur rendre visite dans les cuisines, passait une heure ou deux en leurs compagnie puis repartait à nouveau on ne sait où, sans demander son reste. Sur le moment, elle ne se rendait pas compte qu’elle l’aimait, elle recherchait sa compagnie, trompait même Majnu avec lui, sans pour autant réaliser, sans pour autant le comprendre.

A peine quelques mois plus tard, le drame : Jean mourut dans un accident du chemin de fer. Un train à marchandises s’était emballé puis avait déraillé. Malheureusement pour lui, le jeune homme se trouvait parmi les nombreux civils qui furent fauchés, à grande vitesse, par l’un des wagons. Mais il ne mourut pas sur le coup, piégé sous les décombres, son agonie dura des heures avant qu’il ne rende enfin son dernier souffle. En effet, les secours se firent attendre. A l’autre bout du chantier, les sauveteurs avaient reçus l’ordre de concentrer leurs efforts sur une victime bien particulière de cet accident : une étoile.

A cette époque, Lalita ne pouvait pas le savoir, on lui raconta cependant que Jean aurait pu être sauvé si le sauvetage des rescapés n’avait pas été aussi désorganisé par l’arrivée d’une troupe d’elefs. La jeune femme comprit instinctivement que quelque chose là-bas avait beaucoup de valeur, tellement de valeur qu’à cause de ça…son amour était mort.

« Cette chose était plus précieuse que la vie de Jean ? »
« Pourquoi ce jour là, pourquoi lui...?»

Ca faisait si mal. Lalita n’arrivait plus à rire, elle n’arrivait plus à chanter. Son maître Abel Isthars qui avait des vues sur elle depuis pas mal de temps lui fit très soudainement sa demande. La soubrette ne s’y attendait pas le moins du monde mais la surprise passée, elle se mit à considérer l’offre, à peser le pour et le contre en quelque sorte. Elle n’était pas calculatrice par nature pourtant après mure réflexion, elle accepta d’épouser l’aristocrate et cela sans bien entendu éprouver le moindre sentiment envers lui.

Majnu fut atterré. Il ne comprit pas la décision de sa compagne, pourquoi une telle trahison ? Lui qui n’avait pas su lire en elle, cet amour qu’elle avait porté pour un autre juste devant ses yeux. Pourquoi le quittait-elle ? C’était pour l’argent ? Comment peut-on être aussi vile ?!
Mais qu’il le veuille ou non, Lalita en épousa un autre. Peu de temps après la noce, Majnu parvint à se faufiler dans les appartements des maîtres, il voulait la rencontrer, il voulait qu’elle s’explique. De rage, il plaqua Lalita contre un mur, il semblait fou, prêt à la frapper.

« Regarde nos vies, nous sommes pauvres, nos familles vivent dans la misère ! Et que deviendrons nous plus tard, lorsque le dos cassé par la tache nous ne serons plus bons à rien !?
Je devais saisir cette chance, une telle opportunité ne se présente qu’une seule fois dans toute une vie…
Ne t’inquiète pas, tu ne manquera de rien, je m’en assurerai, je te le prom…»

Trop tard, la gifle siffla. Ecoeuré par une telle explication, de rage Majnu démissionna le jour même. Fort heureusement pour lui, il retrouva du travail assez rapidement chez d’autres nobles. Evidement, sa Leila avait dû tirer quelques ficelles dans l’ombre mais après tout elle le lui devait bien.
Deux ans plus tard, elle apprit que Majnu avait trouvé le bonheur et qu’à son tour, il c’était marié. Jamais il ne découvrit la vérité, jamais il ne su à quel point Lalita avait aimé Jean ni même la véritable raison pour laquelle elle avait dit oui à Abel.

La menace. Et oui, il l’avait menacée, sa famille, ses amis, en bref tout ce qui lui restait dans la vie. Bien sur, c’était présenté de manière subtile mais évidement, refuser était hors de propos, limite tabou. A présent, du haut de ses vingt-trois ans, la jeune maîtresse était assise au chevet de son mari malade. Paralysé par la fatigue, Abel lançait un regard étrange à son épouse, à la fois inquiet et implorant.

Sa vie ne tenait plus qu’à un fil, il le savait, tout le monde le savait. Seul un respirateur maintenait en vie le maître, tragique destin : mourir à 48 ans, si jeune. Mais même affaibli, même condamné, il luttait le bougre. Aussi la peur le saisi lorsqu’il se rendit compte du danger : il était seul avec son épouse, celle-la même qui devait probablement le haïr autant qu’il l’avait désirée.

Mais contre toute attente Lalita ne débrancha pas l’appareil et pourtant croyez bien qu’elle en était capable et que ce n’était pas l’envie qui lui en manquait. Mais avec le temps, elle s’était assagie, elle avait mûrit. La mort de son mari la soulagerait sans doute temporairement mais… et après ?
Elle perdrait tout, de son pouvoir et de son statut. Toutes ses mésaventures, toutes ses souffrances seraient vaines, elle n’aurait plus aucune chance de changer les choses, d’agir et de faire entendre sa voix. Un autre combat l’attendait mais pour cela elle devait être forte, plus forte encore et courageuse.

Elle soutint donc son mari, le soigna, cet homme cruel qui lui inspirait tant d’aversion et de dégoût. Contre toute attente, celui-ci se remit donc de son attaque, il ne mourut pas mais resta paralysé des deux jambes et dépendant de soins en quasi permanence. Reconnaissant, il est depuis totalement sous la coupe de Lalita, il approuve chacune de ses décisions depuis qu’il s’est rendu compte de sa (pseudo) loyauté. Malin comme un singe, il aura sans doute comprit pourquoi son épouse l’avait épargné, cependant du coup il est également certain d’autre chose : personne dans son entourage n’a plus intérêt qu’elle à ce qu’il survive…Ce qui fait d’elle une alliée en or, surtout quand on est malade et tellement vulnérable.

De nos jours : A 26 ans Lalita tient les reines de la prestigieuse famille Abel Itshars. Elle participe aux réunions politiques et lorsqu’il y a vote, sa voix remplace celle de son mari. Dynamique et travailleuse, elle a su se faire une place et un nom parmi ses pairs et malgré ses origines plébéiennes, on la respecte puisqu’il est de notoriété publique qu’elle est le bras droit de son mari. (Bien entendu la vérité est tout autre mais ça c’est un secret Wink )

Mais au juste, quelles sont les ambitions de Lalita ? Cette noble dame recherche activement une étoile et pour quelles raisons ? Mystère ! Quoi qu’il en soit son occupation du moment est de trouver un membre de l’enkidu, quelqu’un de fiable et d’efficace qui pourrait entrer à son service à plein temps afin d’accomplir cette tache. A bon entendeur ?
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MessageSujet: Re: Lalita Itshars   Lalita Itshars Icon_minitime12.11.07 8:35

Désolée pour l'attente, et merci pour les modifications Wink

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MessageSujet: Re: Lalita Itshars   Lalita Itshars Icon_minitime12.11.07 17:24

Super ! Merci I love you
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MessageSujet: Re: Lalita Itshars   Lalita Itshars Icon_minitime

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